Poème de Pascal Ourghanlian, en réaction au film de Flo Pinvidic (publication d'hier, vendredi 26 novembre)
Elle avait
- comme nous -
gagné l’âge aidant
quelques « cheveux » blancs,
perdu son oreille
« musichienne »
ne réagissant plus aux « Calyps’, la porte ! »
qui nous enchantaient tant,
trainant la patte
et dodelinant de la tête
— mais elle était Pellan,
son accueil,
ses rires,
sa musique,
sa tendresse.
Merci Pascal, c'est si vrai ..
RépondreSupprimerElle nous manque ..
merci Pascal, je vois Calypso... tu nous manques Calyp'
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